Déchets flottants regroupés en amas.Outre le point GPS, les conditions océanographiques et météorologiques, indiquer si possible des informations complémentaires (taille, nature des déchets …etc) et mieux encore photographiées.
(1 fois par semaine par exemple, ou une fréquence moindre selon les possibilités).
Les comptages se font sur des durées d ‘1/2 heures à une heure peut être un peu plus dans les zones les plus éloignées des zones d’activité humaine. Le temps n’est pas le plus important (bien que noté sur les fiches), l’important étant d’avoir les positions de début et fin de comptage pour les calculs de distance et surface (puis densités). Compter la nature et la taille sont importants.
C’est le protocole officiel pour les campagnes océanographiques impliquées dans la directive européenne DCSMM (dont celles de l’IFREMER). Il inclut les catégories de déchets répertoriées.
Le RIEM a pour mission de stocker les données que nous lui adressons, si possible 1 fois par mois et ensuite de les acheminer à François GalGani, Directeur de recherche à L’Ifremer.